lundi, septembre 18, 2006

De Villiers, l’humaniste.

Pourquoi Philippe de Villiers est le candidat le plus humaniste dans la course à la présidentielle ?

Philippe de Villiers, président du département de la Vendée a mis en place depuis 14 ans une politique de co-développement efficace avec des pays pauvres : le Bénin, la Maroc, la Madagascar. Il ne s’est pas contenté de déverser de l’argent sur ces pays, il a lui-même, avec ses collaborateurs, supervisé les projets et le placement des investissements, ce qui ne permettait aucune fuite, détournement de fond. Et pourtant ses actions n’ont touché que les domaines primitifs mais très important pour le développement d’un pays.Au Bénin, le département de la Vendée a financé un réseau d’écoles professionnelles basé sur les besoins du pays, des mutuelles de santé, un hôpital. Au Bénin, le réseau d’écoles professionnellesl (mécanique en moto) représente un modeste coût : 100 000€, en France cette somme suffirait à peine à financer la construction d’un lycée.

Philippe de Villiers propose donc de mettre en place une grande politique de co-développement, dont le principe serait que tous les départements français parraineraient un pays africain sur le modèle de la Vendée avec le Bénin, pour :
- Développer efficacement ces pays et les mettre sur la bonne voie définitivement.
- Permettre aux populations du Sud d’avoir accès aux soins, au savoir et à la technologie
- Fixer les cerveaux dans leurs pays et au profit de leurs pays d’origines
- Bloquer les flux migratoires en direction d’une occident qui est à bout de souffle

Le Parti Socialiste ne propose rien de concret, que des objectifs qui comme chacun le sait ne sont jamais atteints : annulation de la dette des pays pauvres, taxe sur les billets d’avions, lutte contre la corruption.

La Ligue Ouvrière ne propose rien.

La LCR ne propose rien.

L’UMP ne propose rien

Le FN ne propose rien pour développer les pays pauvres..

Seul Philippe de Villiers propose quelque chose de concret pour enfin mettre fin à la misère dans les pays pauvres.
Cela lui a valu d’être « l’homme occidental le plus populaire au Bénin » (Mathieu Kérékou, ancien président du Bénin).

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